Communiqué de la FEC-FO - Section Commerce & VRP
Autre fleuron de la galaxie Mulliez, le groupe Happy Chic en cultive la même aversion envers les élus et mandatés Force Ouvrière, particulièrement lorsqu'une de leurs cadres a l'outrecuidance de s'engager.
Face à la souffrance causée par le comportement toxique de ses représentants, l'employeur a fait l'autruche, ignorant royalement les alertes et la mise en danger de notre camarade qui a été jusqu'à une grève de la faim en 2018 pour tenter d'attirer son attention. En vain.
Pire, l'arrivée d'une nouvelle équipe managériale a sonné le glas, comme une ultime charge pour faire craquer notre déléguée syndicale.
Son obligation de préserver la santé et la sécurité? L'employeur en a fait fi, bien au contraire, il a accentué la pression, encore et encore, jusqu'à demander le licenciement sur la base d'accusations fallacieuses.
La Section fédérale du Commerce & VRP de la FEC-FO se félicite du refus de l'inspection du travail de licencier notre camarade Nadia et la conforte dans son emploi et son mandat. Nous apportons un soutien sans faille à notre représentante et exigeons de sa direction qu'elle cesse définitivement son lynchage et toute attaque à son encontre.


